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La Mytiliculture


Le métier de mytiliculteur
Les exploitants et ouvriers de bouchots sont appelés mytiliculteurs, ou anciennement bouchoteurs boucholeurs ou boucheteurs.

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Moules AOC

Les mytiliculteurs regroupés au sein du Comité de l’AOC, œuvrent chaque jour pour sauvegarder l’équilibre naturel du site.
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L'appellation Moules
de bouchot

Correspond à la définition suivant: moules élevées exclusivement sur des pieux verticaux
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Saison de la pêche
des moules est liée à son cycle sexuel mais également à la pression du marché
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Deux espèces sont exploitées
Mytilus edulis, sur les côtes charentaises,vendéennes et bretonnes
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Mytiliculture et environnement

 

Les moules

La Description

La Carte d’identité des moules

L'Etymologie

 

l'Histoire de la moules

Les Caractéristiques de la moule

La Biologie de l’espèce

 

La Reproduction

L'Alimentation

L'Activité

Les Prédateurs

 

Les Bienfaits

Les Conserver

Les Rations

Le Transport

 

Les Conseils de cuisine

Vrai ou Faux


La mytiliculture entretient des relations avec l'environnement


les moules nécessitent une eau d'une qualité suffisante, surtout pour être commercialisées (qualités organoleptiques, chimiques, biologiques, teneur en plancton et nutriments vitaux, faible teneur en polluants, etc.).

Certaines espèces peuvent parasiter ou consommer des moules.
lLes mytiliculteurs cherchent à s'en prémunir.

Inversement, les élevages de moules peuvent avoir des conséquences sur l'environnement, positives via la filtration de l'eau, mais localement parfois négatives par l'occupation ou l'artificialisation d'habitats qui ne sont plus disponibles pour d'autres espèces, et surtout via une augmentation de la teneur de l'eau en certaines particules dont excréments (feces, pseudofeces des moules) qui par le phénomène de « biodéposition » modifient l'environnement local.

Une étude récente a montré que la nature et la quantité de la biodéposition variait fortement selon les saisons et le courant ou le coefficient de marée, par contre la biodéposition sur le milieu sestonique parait toujours circonscrite à une zone de superficie restreinte.

Si à 100 mètres des filières d'élevages de moules, les concentrations sestoniques sont « similaires à celles observées sous les filières », à 400 mètres elles sont devenues très faibles par rapport à celles mesurées dans la zone des 100 mètres autour des filières.